« Aller clamser en Chine, commak, délibérément,
contre la volonté même de ses chefs,
admettez que c’est un peu insensé sur le pourtour, non ?
Faut aimer l’aventure, le risque et Bérurier. »
San-Antonio « Tango chinetoque »
C’est la dernière critique dans ce mois de mars. Demain, le jour sera rempli de poissons d’avril et de lapins de Pâques.
Et, une grosse feignasse que je suis, aujourd’hui, j’ai décidé à faire travailler les autres. J’ai déniché un très bon ghostwriter, un homme de l’ombre, qui va remplacer aujourd’hui votre très humble serviteur.
Il s’agit de Éric Bouhier et de son mirobolant «Dictionnaire amoureux de San-Antonio» que j’ai déjà présenté sur ce blog l’année passée.
Pendant que je prépare le repas de Pâques (y compris, « Ri D’vô Kla Mâr, Po Té O ver Niâte, From’ ton, Pro Fi T‘rol », et, bien sûr, des œufs à l’assassin), ce digne gentleman va bosser comme un forçat pour vous présenter l’aventure chinoise de San-Antonio, de Bérurier et de Cyprien.