« […] deux filles clamsées, un inspecteur de qualité grièvement blessé
et la réputation du célèbre San-A. aussi souillée qu’un couvre-lit d’hôtel de passe.»
San-Antonio «La fin des haricots»
Les plus chanceux, veinards ou vergeots sont, en quelque sorte, comme la plus belle fille du monde, qui, comme on en sait, ne peut donner que ce qu’elle a.
Henri IV, qui a survécu le massacre de la Saint-Barthélemy en 1572, s’est fait poignarder par François Ravaillac 38 ans après.
Après une longue sarabande de victoires aux batailles de Marengo, Austerlitz, Iéna ou Wagram, Napoléon a connu sa Bérézina.
Il y a des cas, où même le fameux, le faramineux, le fabuleux commissaire San-Antonio, féru de désirs professionnels, intellectuels, nutritionnels et charnels, a la puce à l’oreille, prêt à donner sa langue au chat (au chah et au chas, soulignez ce qui est approprié).
L’un de ses dérapages a une appellation (d’origine contrôlée) — «La fin des haricots». C’est la deuxième fois qu’on en parle sur ce blog. On a déjà traité le côté phraséologique de l’expression, tandis que cette fois-ci, on va la disséquer sous les coutures polaro-aventureuses. Читать далее