« Je sème à tout vent. »
(La devise de la maison Larousse)
Aujourd’hui, j’ai troqué la pêche à la mouche contre ces pattes de mouche. Quelle mouche m’a piqué, demanderiez-vous? Si j’écris à l’ordinateur, à quoi bon faire d’une mouche un éléphant avec les écritures d’un chat? «Il encule les mouches avec toutes ces fioritures!», s’exclameriait une fine mouche.
Moi, vous me connaissez: «Toujours la banane, toujours debout», comme chante Renaud. Je ne ferais jamais mal à une mouche, même si elle est de mes critiqueuses furibondes. Je ne tomberai jamais comme des mouches avec mes lectures croquignolettes et mes critiques embrouillées.
Mais qu’est-ce qui ne va pas donc avec ces mouches? Mystère et boule de gomme ? Quand même, c’est bien simple: où il y a des mouches, il y a souvent la mort, quoi!
Ainsi je comprends bien le valeureux commissaire San-Antonio, qui n’a peur de rien habituellement, et qui, dans le volume numéro 27 de la série prétend qu’il a, je cite, «peur de mouches». Sale temps pour les mouches, mais tout votre temps pour lire ce petit essai. Peut-être, qu’on entendrait les mouches voler, hein? Читать далее