«Tu sais, mon garçon, les adultes sont des gens bizarres.»
(Joël Dicker «Le Livre des Baltimore»)
Le proverbe prétend que «L’hôtel et le poisson en trois jours sont poison». Comme la lecture n’entre pas dans la catégorie ni d’hôtel ni de poisson, on peut la reconnaître tout à fait inoffensive pour la santé, ha! ha!
Ces huit derniers mois, je suis devenu un «serial-lecteur» des romans de San-Antonio. J’en étais dépourvu depuis si bien longtemps et maintenant je fais tout pour rattraper le retard. Les aventures du fameux commissaire et de toute sa éminente compagnie ne se sont pas transformées en poison, je les dévore vite et avec un grand enthousiasme. Tout de même, il faut secouer le contenu de temps en temps pour éviter la monotonie de la lecture.
Il y a quelque temps j’ai crée en format de fb2 un eBook de Joël Dicker qui porte le titre «Le Livre des Baltimore». Le nom de l’auteur ne me disait rien mais j’ai fait l’attention qu’on en parle beaucoup. Après avoir lu quelques articles sur Joël Dicker et son œuvre dans la presse, j’ai décidé d’en faire ma connaissance de plus près.
Chaque vendredi je tâche de partager mes lectures avec un évènement littéraire VendrediLecture sur Twitter ou Facebook. Ainsi au début du mois de mai j’y ai fait mon choix en s’attaquant sur «Le Livre des Baltimore».
Le livre était assez bien épais et la lecture n’est pas devenu un blitzkrieg léger à travers les pages. J’ai lu le roman vers la fin du mai. Mais j’écris ses lignes seulement au début du mois de juillet, tant j’étais débordé par les pensées contradictoires à propos de cette histoire.
Aujourd’hui, je vais essayer de rassembler tous mes pro et contra concernant le roman de Joël Dicker «Le Livre des Baltimore» dans ce petit essai.
Autodidacte 