Dans chaque gonzesse il y a une Sarah Bernhardt qui somnole. Mais qui somnole d’un carreau seulement.
© San-Antonio , «Du mouron à se faire» (1955)
Dans chaque gonzesse il y a une Sarah Bernhardt qui somnole. Mais qui somnole d’un carreau seulement.
© San-Antonio , «Du mouron à se faire» (1955)